Ce sera cela :

Cours de français de deuxième année 総合フランス語コミユニーケションB1/C1
Je voudrais vous raconter quelque chose à propos du camping sauvage.L'autre jour, je me promenais au bord de la mer et j'ai vu six jeunes qui faisaient du camping sur la plage, à une centaine de mètre de l'entrée du camping municipal. Ils avaient installé une tente, certains se baignaient, d'autres faisaient cuire quelque chose sur un camping gaz.À ce moment-là, quatre gendarmes les ont vus. Ils leur ont demandé de montrer leurs papiers d'identité puis ils leur ont dit de quitter de la plage.Les jeunes ont protesté. Les gendarmes ont insisté et les ont obligés à démonter leur tente et à partir de la plage.Moi, je me dis cela :- d'une part, on devrait être libre de camper où on veut. C'est une question de liberté individuelle. On est adultes, on est responsables, on n'a pas besoin que la police nous empêche de faire ce qui nous plaît tant qu'on en fait pas de mal. Sur la plage, il n'y a pas de panneau d'interdiction de camper.- d'autre part, dans ce cas, c'était peut-être dangereux de camper sur la plage car la mer peut être dangereuse, il peut y avoir des vagues fortes ou, même, un mini-tsunami. La ville est responsable de la sécurité des gens qui y séjournent. Et puis, si plusieurs groupes campent sur la plage, ils vont empêcher d'autres personnes de se baigner. La plage est à tout le monde. Mais, ces jeunes semblaient avoir de bonnes manières. Je pense qu'ils auraient ramassé leurs ordures et qu'ils n'auraient pas sali l'endroit.Et vous, qu'est-ce que vous en pensez ?
J'ai assisté à une scène entre des jeunes et des gendarmes pour une question de camping sauvage.
Un groupe de jeunes avait planté deux tentes et faisaient du camping sur une plage. Une femme préparait le repas sur un réchaud à gaz, les autres se baignaient dans la mer.
Tout à coup, des gendarmes sont arrivés et ils les ont obligés à partir pour aller s'installer au camping municipal qui se trouve à côté. Les jeunes ont essayé de s'opposer.
Je pense qu'ils ne faisaient pas de mal en faisant du campant à cet endroit. Au contraire les gendarmes m'ont paru très brutaux. Les jeunes faisaient attention à ne pas provoquer d'incendie et à ne pas polluer la nature. Et ils auraient emporter les ordures avec eux.
Je pense que les gendarmes auraient dû leur permettre de rester s'ils respectaient les règlements.
Le film qui m'a le plus marquée est un film d'amour qui s'appelle Holiday avec Cameron Diaz et Jude Law. Je l'ai vu le mois dernier. Je ne l'ai pas vu dans un cinéma, je l'ai vu chez moi.
C'est un film américain qui se passe aux États-Unis et qui est parlé en anglais.
Au début, on voit deux jeunes femmes qui rompent avec leurs amoureux. Puis elle décident d'échanger leurs maisons. Une des jeunes femmes habite dans une grande ville, à Los Angeles, l'autre habite à la campagne, à Sally.
Et chacune d'elles, dans son nouvel endroit, trouve l'homme idéal. À la fin, elles vivent heureuses.
J'aime bien ce film parce qu'on se sent très heureux en le voyant.
J'aimerais le revoir une autre fois.
D'après YuiLe film qui m'a le plus marquée, c'est un film qui se passe à Tokyo à l'époque Showa. Il s'appelle Always, c'est un film de Takashi Yamazaki avec Yoshioka Hidetaka, Tsutsumi Shinichi et Koyuki.
Je l'ai vu il y a un an. Il montre la vie quotidienne de cette époque. Dams cette histoire, les gens n'ont pas beaucoup d'argent mais il y a beaucoup d'affection entre les parents et les enfants. On ressent bien la tendresse entre les gens.
Au début le héros est pauvre et mène une vie désordonnée. Mais finalement, il gagne le pris Akutagawa.
C'est cette scène qui m'a marquée le plus. En faisant des efforts, on peut réaliser son rêve.
Exercice 18
Exercice 19
J'espère que tu vas bien. Moi, je suis allé(e) à la journée sportive de mon quartier dimanche dernier. Je ne fais pas beaucoup de sport mais j'y suis allé(e) parce que je connais un des organisateurs.__________________
Là-bas, j'ai rencontré trois ami(e)s, dont un(e) que je n'avais pas vu(e) depuis longtemps.
On a participé au tournoi de volley et on s'est trouvé(e)s dans la même équipe. On a gagné facilement le premier match, mais malheureusement, on a perdu le deuxième.
C'était très sympa comme ambiance. Je pense que j'y retournerai l'année prochaine si je suis libre.
Je te préviendrai. Si tu pouvais venir, ce serait bien. Je te présenterai mes ami(e)s. Elles seront là, elles viennent tous les ans.
Je te quitte en t'embrassant,
(votre prénom).
Nous n'aimons pas le mouton / Nous ne mangeons pas de mouton.Dictée
Nous ne l'aimons pas, nous ne l'aimions pas, nous ne l'aimerons pas, que nous ne l'aimions pas, nous ne l'avons pas aimé.
Nous n'en mangeons pas, nous n'en mangions pas, nous n'en mangerons pas, que nous n'en mangions pas, nous n'en avons pas mangé.
Quand on commence à apprendre une langue étrangère, il vaut mieux dire ce que l'on peut dire plutôt que ce que l'on veut dire.Forum 2, cahier d’exercices unité 5, exercice 15 (préparation)
Question : Qu'est-ce qui s'est passé ? / Que s’est-il passé ?
- Deux personnes ont été arrêtées sur l'autoroute.
- Le vendredi précédent (d’avant), ils s’étaient fait enfermer (se sont fait enfermer / sont entrés / ont pénétré) dans un garage, puis ils ont percé le mur pour entrer (pénétrer / s’introduire) dans le bureau d'une société et pour ouvrir (percer) le coffre-fort et prendre (voler) l'argent de la paie des employés.
Ils ont travaillé (sont restés) pendant 48 heures.
Bien sûr, ils avaient apporté à manger.
- Malheureusement pour eux, ils ont laissé (ont oublié) le papier d'emballage avec le nom du charcutier chez qui ils avaient fait leurs courses.
- La police s’est rendue chez le commerçant qui avait vu les deux malfaiteurs. Avec ses informations (renseignements / indications), les policiers ont pu les arrêter.
- Maintenant, ils sont en prison et ils peuvent méditer sur l'utilité de vider (/jeter) sa poubelle.
現在形 Elles lui en envoient.Dictée (prétexte : Mireille n'a pas son permis sur elle, elle doit donc se présenter au commissariat)
半過去 Elles lui en envoyaient.
未来形 Elles lui en enverront.
接続法 Qu'elles lui en envoient.
複合過去 Elles lui en ont envoyé.
日本語訳
彼女たちは、花を母親に送る。(Yukiko)
- Est-ce que tu as un passeport ?あなたは、パスポートを持っていますか?- Oui, j'en ai un.はい、私はそれを持っています。- Est-ce que tu l’as sur toi?あなたはそれを手元に持っていますか?- Non, il est chez moi.いいえ、家にあります。(Ayaka)
Une jeune fille, Mlle Mireille Minière, roulait sur la départementale 27, 3km avant Villeneuve.A un croisement avec une petite route, sa voiture a heurté la mercédès de M. Courron, domicilié à Nice, qui venait sur sa droite.L'accident n'a pas fait de blessé, mais la vieille voiture de la jeune fille est très endommagée.Les gendarmes lui ont donné une contravention.Mireille Minièreという若い女性は新町から3キロ手前の県道27号線を走っていた。小さな道の交差点で、彼女の車は右から来ていたCourronさんのベンツ と衝突した。この事故での負傷者はいないが、若い女性の古い車は大破した。 憲兵は彼女に罰金を課した。
UN MARI DÉCÉDÉ, DEUX VEUVES
Avertie du décès de son mari dans un accident près de Rabat (Maroc), une femme se rend à l'hôpital où le corps reposait. Elle y rencontre une autre femme, en pleurs aussi après avoir appris le mort de son mari. En se consolant, elles se racontent leur vie, et découvrent qu'elles étaient toutes les deux veuves... du même homme ! L'islam tolère la polygamie, un homme pouvant avoir jusqu'à 4 épouses. Généralement, elles se connaissent.
Ah ! Si j'avais un franc cinquante
J'aurais bientôt deux francs cinquante
Ah ! Si j'avais deux francs cinquante
J'aurais bientôt trois francs cinquante
Ah ! Si j'avais trois francs cinquante
J'aurais bientôt quatre francs cinquante
Ah ! Si j'avais quatre francs cinquante
Ça m'ferait bientôt cent sous!
(•) 100 sous = 5 francs
1 euro - 6,55957 francs
Sur Boris Vian : ici
J'aime : la salade, la cannelle, le fromage, les piments, la pâte d'amandes, l'odeur du foin coupé (j'aimerais qu'un nez fabriquât un tel parfum), les roses, les pivoines, la lavande, le champagne, des positions légères en politique, Glenn Gould, la bière excessivement glacée, les oreillers plats, le pain grillé, les cigares de Havane, Haendel, les promenades mesurées, les poires, les pêches blanches ou de vigne, les cerises, les couleurs, les montres, les stylos, les plumes à écrire, les entremets, le sel cru, les romans réalistes, le piano, le café, Pollock, Twombly, toute la musique romantique, Sartre, Brecht, Verne, Fourier, Eisenstein, les trains, le médoc, le bouzy, avoir la monnaie, Bouvard et Pécuchet, marcher en sandales le soir sur de petites routes du Sud-Ouest, le coude de l'Adour vu de la maison du docteur L., les Marx Brothers, le serrano à sept heures du matin en sortant de Salamanque, etc.
Je n'aime pas : les loulous blancs, les femmes en pantalon, les géraniums, les fraises, le clavecin, Miro, les tautologies, les dessins animés, Arthur Rubinstein, les villas, les après-midi, Satie, Bartok, Vivaldi, téléphoner, les chœurs d'enfants, les concertos de Chopin, les bransles de Bourgogne, les danceries de la Renaissance, l'orgue, M.-A. Charpentier, ses trompettes et ses timbales, le politico-sexuel, les scènes, les initiatives, la fidélité, la spontanéité, les soirées avec des gens que je ne connais pas, etc.
J'aime, je n'aime pas: cela n'a aucune importance pour personne; cela, apparemment, n'a pas de sens. Et pourtant tout cela veut dire: mon corps n'est pas le même que le vôtre. (...)
"Passer un examen(試験を受ける、試験に合格する)"Ex :
これはどういう意味でしょう?時と場合によります。
「合格」とも言えるし、「受ける」とも言えます。
前者の場合、「合格を手に入れる(avoir son examen)」か「合
格を得た(obtenir son examen)」のほうがよいでしょう。
(traduction : HatsuHo)
Je n'aime pas les endroits bruyants.
Je n'aime pas les personnes qui parlent fort.
J'aime la musique, à petites doses et par période. Mais, en général, je préfère le silence. Je n'aime pas les fêtes programmées. Je n'aime pas sortir de chez moi le dimanche. J'aime découvrir les choses par moi-même et par hasard.
J'aime le cinéma donc je déteste la plupart des films.
(Si vous ne comprenez pas, demandez à Risako et Chitose). J'aime revoir les films que j'ai vus plusieurs années ou plusieurs décennies avant car le plaisir et l'intérêt s'en trouvent décuplés : intérêt et plaisir pour le film lui-même et pour le film d'alors ressuscité avec l'époque et avec ceux que nous étions à ce moment. Plaisir rare, euphorisant et nostalgique de se sentir avoir été, être encore et ne plus être.
J'aime le quartier de la gare de Nagoya, mon "furusato" japonais.
J'aimais rouler la nuit, au hasard, en voiture, en écoutant du jazz.
J'ai aimé passer des cols, à pieds, et me retrouver à l'étranger (en Suisse, en Espagne) sans avoir vu de douaniers.
J'aime écouter parler des gens intelligents et d'expérience à la radio. J'aime les voix sans visage. Je déteste la télévision et la vulgarité.
Comme Nietzsche, j'aime les "courtes habitudes". L'incertain autant que le définitif m'ennuie. J'aime changer de fidélité.
Comme Apollinaire, je préfère aux fleurs les feuilles et les fruits.
J'aime quand l'été vire à l'automne, particulièrement sur le ciel de Champagne.
J'aime découvrir que j'aime ce que je croyais ne pas aimer quelques instants avant. En général, je n'aime pas voyager, mais j'aime avoir voyagé.
(...) Avec Arcimboldo, nous jouons à ce jeu qu'on appelle le « portrait chinois » : quelqu'un sort de la pièce, l'assemblée décide d'un personnage qu'il faudra deviner, et lorsque l'enquêteur revient, il doit résoudre l'énigme par le jeu patient des métaphores et des métonymies : Si c'était une joue, que serait-ce ? - Une pêche. - Si c'était une collerette ? - Des épis de blé mûr. - Si c'était un œil ? - Une cerise. - J'ai trouvé : c'est l'Été.Dans la figure de l'Automne, l'oeil (terrible) est fait d'une petite prune. Autrement dit (en français, du moins), la « prunelle » (botanique) devient la « prunelle » (oculaire).
On dirait que, tel un poète baroque, Arcimboldo exploite les « curiosités » de la langue, joue de la synonymie et de l'homonymie. Sa peinture a un fond langagier, son imagination est proprement poétique : elle ne crée pas les signes, elle les combine, les permute, les dévoie - ce que fait exactement l'ouvrier de la langue. (Roland Barthes, Essais critiques III, pp.122-3)
• communicatif
- annoncer un fait
- exprimer son accord, approuver
- structurer le discours
• linguistique
- le passif
- les adjectifs et les pronoms indéfinis
- les indéfinis et la négation
- la phrase nominale
- la nominalisation
- les suffixes -age, -(t/x/ ... )ion, -ment
• interculturel
- les médias dans la journée d'un Français
- les médias en France
DOSSIER DE PRESSE
Portraits de Chine
Peintures
Exposition 6 Juin au 12 Juillet 2007Feng ZhengJie compte parmi les artistes chinois contemporains les plus importants de sa génération, les prix de ses œuvres se sont récemment envolés dans les plus prestigieuses salles de ventes internationales. Feng ZhengJie ne cesse de nous surprendre par ses portraits de femmes aux regards obliques, symbole de la Chine contemporaine tiraillée entre deux directions opposées et que l'appel de l'ouest semble attirer inexorablement.
Les œuvres de Feng ZhengJie sont à la frontière entre la tradition iconographique chinoise et un pop art warholien. Nulle célébrité cependant mais des portraits d'inconnues glanés au hasard et qui reflètent une vision pop futuriste et clinquante de la Chine d'aujourd'hui. Son œuvre prend ses sources dans les affiches de cinéma, les panneaux publicitaires, les magazines de mode, les marques de cosmétiques. Ces visages toujours lisses, durs et intemporels sont le miroir d'une obsession de la frivolité. Il exagère les traits acides de poupées industrielles, avides d'une consommation de masse pour la mode, et révélés par une nouvelle culture.
Ses portraits aux couleurs violentes presque sanguinaires renforcent l'expressivité et l'impact visuel de ses modèles. Ses peintures témoignent de la tension de ses contemporains, tiraillées entre deux mondes, l'une poussant inlassablement vers l'avant et l'autre encore ancrée dans le passé.
La femme de Feng ZhengJie est l'allégorie de la métamorphose qui gagne la Chine toute entière, et des bouleversements économiques, sociaux et individuels qui transforment la société mais expriment dans une distorsion maniériste la violence qui l'accompagne. Dans cette nouvelle série, Feng ZhengJie , qui habite secrètement l'âme de ses modèles, s'exprime dans le meilleur de son art.
Plus de détails : Galerie Albert Benamou